Bonjour, ou plutôt bonsoir, ou même re-bonsoir !
Je vous présente le premier épisode d'une série de plusieurs (je ne sais pas encore combien) ayant pour titre Les Carnets de Glorious Past. Ce premier épisode va vous conter la naissance du projet.
Lors d'un beau jour (ou pas, je ne me souviens plus) de décembre, alors que je parcourais comme souvent le Site du Zéro, j'ai aperçu une news expliquant le pourquoi et le comment d'Innov'Game. Entre autres que le thème de cette année serait À la gloire de... "Thème intéressant," me dis-je "de plus j'ai toujours rêvé de participer à un concours de ce genre." Qu'à cela ne tienne, je me suis mis en tête que j'allais participer. Le problème est que je n'ai pas une imagination débordante et que j'étais comme qui dirait à court d'idées de thèmes. À la gloire de mon père ? Magnifique hommage à Marcel Pagnol. Alors oui, mais non. Ce n'était pas assez vidéoludique comme thème (à vous de juger s'il n'était pas assez "vidéo" ou pas assez "ludique"). En fait, je n'étais pas à court d'idées. J'étais à court de bonnes idées.
Le lendemain, j'ai parlé d'Innov'Game a un ami. Vous savez, le genre d'ami qui a toujours des bonnes idées. En deux temps, trois mouvement, il me pond ceci : "À la gloire du passé, il nous faut reconstruire le présent. Nos ancêtres nous ont légué une Terre dévastée et stérile. L'air que l'on y respire n'est que vapeurs empoisonnées C'est à nous que revient la tâche et l'honneur de préparer le futur. Ensemble, nous rendrons à ce monde sa splendeur passée." Manque de bol, j'ai horreur des histoires post-apocalyptique. Cependant, la première phrase m'a beaucoup plu, surtout le "À la gloire du passé, [...] présent". C'est là que, soudain, aussi incroyable que cela puisse paraître, j'ai eu une idée. Mais ce n'est pas tout. J'ai même eu une bonne idée. Ladite idée étant "À la gloire du passé, réécrivez le présent". Comment ai-je eu cette idée ? Figurez-vous que je jouais à un jeu vidéo que j'apprécie beaucoup et dont je voulais que le futur jeu (dont je n'avais encore aucune idée) s'inspire. Dans ce jeu donc, j'ai pris une décision, et ai fini mon tour. Mais dès le tour suivant, j'ai pu remarquer que ce n'étais pas la meilleure des décisions à prendre. Ce que j'aurais aimé revenir dans le passé...
De là sont venus le sous-titre du jeu ("à la gloire du passé, réécrivez le présent") et son principe clé (le fait de pouvoir revenir dans le passé). Et le titre ? On m'a toujours appris que pour pouvoir améliorer quelque chose, il fallait des bases solides. Soit, d'un point de vue temporel et pour une société, et passé glorieux. Sauf que Passé Glorieux, ça n'est pas très accrocheur. À la recherche d'un titre accrocheur reprenant ce concept de passé glorieux, je me suis tourné vers la langue de Shakespeare. D'où le Glorious Past.
Ici s'achève le premier volet des Carnets de Glorious Past. Dans le suivant, vous pourrez découvrir comment l'équipe Gloria, qui développe Glorious Past s'est formée, ainsi que l'étoffement de l'idée précédemment née dont vous connaissez désormais tous les détails, vers l'idée complète et finale de ce que sera le jeu, et ce jusque dans ces moindres détails.
À bientôt sur le blog de Glorious Past pour d'autres actus liées au jeu ainsi que pour la suite des Carnets de Glorious Past !
Courbette............
RépondreSupprimerEt une partie de la phrase qui déchire est tirée du Seigeur des Anneaux, lors du Conseil d'Elrond, les initiés comprendrons. Mais le début est une invention...
Puisse les étoiles briller sur ton projet !!!
Nos ancêtres nous ont légué une Terre dévastée et stérile. L'air que l'on y respire n'est que vapeurs empoisonnées.
RépondreSupprimerC de ca que tu parles ?
@Gloria : Le team est de quelle nationalité ? Belge comme moi?, français?, canadien ?
Les deux membres de la team sont français, mais j'habite en Belgique.
RépondreSupprimerUne très bonne idée le fait d'expliquer votre cheminement de pensée pour la création du jeu.
RépondreSupprimerMerci de ton avis. Ce projet est important à mes yeux, et je tenais à faire partager son histoire, son passé et tout l'atmosphère qui a pu s'en dégager. (mais ça, c'est pour la suites des Carnets)
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